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Léa et Thomas se sont rencontrés au lycée. Dix ans plus tard, ils réalisent leur rêve de mariage en Italie, au cœur de la Toscane, entourés de leurs proches en petit comité. Ils sont tombés sous le charme d’une villa près de Sienne : une maison chaleureuse avec un grand jardin ourlé d’oliviers et un petit bois où s’échapper à l’ombre. Leur souhait était simple et très toscan (vivre une semaine à part, loin du rythme du quotidien, se dire oui sans pression, créer des photos naturelles qui leur ressemblent).
En tant que photographe de mariage argentique et photographe de mariage à Lyon, j’ai documenté cette parenthèse solaire. Les préparatifs avec les fenêtres grandes ouvertes sur le jardin, la cérémonie laïque face aux collines, le cocktail à ciel ouvert, le dîner convivial avec une grande tablée, la danse sous les étoiles après un feu d’artifice : un rêve éveillé.
La semaine a été l'occasion de (re)découvrir la Toscane à travers ses villages de pierres blondes, de Monteriggioni à San Gimignano, de Pienza à Montalcino, avec cette lumière dorée qui caresse tout ce qu’elle touche. Ce mariage en Toscane est devenu plus qu’une journée, une expérience à leur mesure.
Pour ce mariage en Toscane, Léa et Thomas se sont installés dans une grande villa entourée d’oliviers. Centraliser préparatifs, cérémonie, cocktail et dîner dans un même lieu change tout (pas de trajets, un rythme doux, de l’espace pour profiter des proches).
Des chambres lumineuses avec volets clairs et fenêtres au sud pour des préparatifs naturels
Un coin ombragé pour la cérémonie laïque (ou une arche fleurie qui crée le décor, cela fait toute la différence !)
Une terrasse ou une pelouse plane pour une grande table en longueur et des guirlandes
Un accès rapide aux villages voisins pour la séance de couple en Toscane
Chaque jour, des chefs à domicile ont cuisiné des plats typiques, servis au centre de la table. Pici al ragù, ribollita, porchetta croustillante, bruschette à la tomate parfumée et pecorino au miel, le tout avec un verre de vernaccia bien frais. Ce format mariage en petit comité encourage la discussion, les rires qui s’étirent et des photos authentiques.
La semaine a été ponctuée d’activités à leur image. Dégustation dans un domaine familial du Chianti Classico pour sentir les nuances d’un sangiovese élégant. Balades dans les villages de Monteriggioni, San Gimignano, Pienza et Montalcino. Pavés patinés, volets verts et linge aux fenêtres offrent des décors parfaits pour une séance couple Val d’Orcia. Et parce que ce séjour était vraiment le leur, Léa et Thomas ont gardé leurs habitudes (footing au lever du jour entre les cyprès, yoga dans le jardin, petite partie de mölkky près du bois).

Au matin du jour J, la villa s’est réveillée dans une ambiance décontractée. Les chambres donnant sur les oliviers baignaient dans une lumière claire. Léa s’est préparée avec sa sœur les fenêtres ouvertes sur le jardin. Thomas ajustait ses boutons de manchette en regardant la lumière glisser sur les feuilles argentées.
Côté image, j’ai privilégié des photographies à l’argentique. Un voile sur une chaise, la papeterie, quelques bijoux sur une table en jouant avec les ombres et la lumière. Ces détails racontent autant que les grands moments.

La cérémonie laïque s’est tenue dans le jardin. Une arche couverte de fleurs dans des tons orange et rose (dahlias, roses de jardin, zinnias et quelques tiges sauvages) donnait le ton : solaire, chaleureux et délicat. Les vœux se sont glissés dans le vent des cyprès. Mon approche est simple (ne rien bousculer, laisser vivre la scène et préserver l’authenticité).


Après la cérémonie, nous avons rejoint un village voisin niché au cœur des collines. Pavés, volets verts et linge aux fenêtres, le décor était prêt. Comme souvent en Toscane, quelques chats curieux se sont invités, amusés par la traîne de la robe. Nous avons marché à la lumière de fin d’après midi, cherchant les ruelles silencieuses et les placettes ombragées. Le résultat, des images intemporelles où l’architecture devient un écrin pour les émotions.

De retour à la villa, le cocktail à ciel ouvert s’est installé sous les oliviers. Un saxophoniste a posé une bande son jazzy et douce. Les invités picoraient crostini, charcuteries locales et pecorino au miel, un verre de vernaccia à la main. Je travaille à la lumière naturelle, je cherche des situations plutôt que des poses et je saisis les portraits sur le vif.


Le dîner s’est déroulé autour d’une grande table en longueur, pensée pour que chacun puisse se voir et échanger. La décoration, simple et élégante, mêlait fleurs de saison et soliflores, bougies basses et nappes écrues. Les plats se partageaient au centre (à la toscane) pour cette ambiance de famille souhaitée par Léa et Thomas. Au fil des toasts, la nuit a enveloppé le jardin d’une douceur bleutée.
Après la découpe du dessert, un feu d’artifice a illuminé le jardin. La piste s’est ensuite ouverte sous les étoiles et la danse a duré tard. Pour ces photos de nuit, j’alterne ambiance et énergie, avec des couleurs vives pour traduire la fête.

Au fil de la nuit, la villa s’est illuminée d’une lueur dorée. Les guirlandes se reflétaient dans les verres, les rires éclataient sous les oliviers, et la piste de danse vibrait doucement. J’ai alterné prises de vue argentiques et numériques pour traduire cette atmosphère intime : des images un peu granuleuses, vivantes, baignées de lumière chaude. Ces photos de soirée sont souvent parmi les plus vraies, quand les émotions s’oublient et que la fête devient souvenir.



L’argentique offre un grain subtil, des couleurs organiques et une latitude qui aime la lumière toscane. Les peaux sont douces, les hautes lumières tiennent bien et les images vieillissent avec élégance. Sur un mariage en petit comité, où l’on cherche l’authentique, ce rendu fait sens. On ralentit, on observe et on déclenche au bon moment.
En Toscane, tout est affaire de lumière. J’anticipe l’orientation du soleil, les zones d’ombre et la golden hour. Je conseille souvent une cérémonie en fin d’après midi puis une courte séance couple avant le dîner. On évite les heures dures, on privilégie les ambiances et on respire.
Mon style est documentaire et discret. Je propose quelques repères si besoin, puis je vous laisse vivre. Les images n’en sont que plus vraies et intemporelles, idéales pour un reportage de mariage naturel en Toscane.
Je suis photographe de mariage à Lyon et photographe de destination. Je couvre vos elopements partout en Europe et dans le monde, avec un reportage de mariage naturel en lumière naturelle et des séries en photographie argentique noir et blanc si vous le souhaitez.
Que votre histoire vous mène en montagne, au bord de la mer ou dans une capitale, j’accompagne vos projets en photographie argentique et en numérique, en couleur ou en noir et blanc, avec une approche documentaire et discrète.
Plus qu’une journée, ce mariage en Toscane était une expérience. Offrir du temps, tisser des souvenirs et profiter de chaque personne présente, avec des paysages simples et magnifiques, une lumière dorée, des tables qui se prolongent et des rires qui résonnent.
Mon approche discrète et documentaire, attentive aux détails et à la lumière naturelle, s’accorde à ces célébrations en petit comité. Basée à Lyon et disponible partout en Europe et dans le monde, je vous accompagne pour raconter votre histoire, en argentique et en numérique si vous le souhaitez. Si vous rêvez d’un dîner sous les oliviers, d’une cérémonie laïque aux tons chauds et d’une danse sous les étoiles, parlons de votre projet.
Vérifiez passeports, actes d’état civil récents et traductions assermentées. Renseignez-vous sur la reconnaissance en France. Beaucoup de couples font le civil en France puis une cérémonie symbolique sur place.
Prévoyez hébergement, repas, fleurs, musique, photo et vidéo, transports et autorisations. En petit comité, la répartition du budget reste flexible selon vos priorités.
Le printemps et le début d’automne offrent lumière douce et températures agréables. En été, privilégiez la fin d’après-midi et la golden hour pour le confort et le rendu photo.
Oui si vous organisez à distance ou si la logistique est dense. Un planner local gère les autorisations, la coordination des prestataires et la mise en place le jour J pour que vous profitiez pleinement.
Idéalement neuf à douze mois avant, plus tôt pour mai, juin, septembre et octobre. Pour un elopement en semaine, six à neuf mois peuvent suffire selon la période.
Si ce mariage en Toscane vous a touché, vous aimerez peut-être découvrir le mariage médiéval de Juliette et Étienne au château de Thorens ou le mariage bohème de Jasmine et Paul à l’Ermitage de Brouilly. Deux ambiances très différentes, mais le même souci du détail, de la lumière et des instants vrais.
Et pour aller plus loin dans votre réflexion, j’ai rédigé un guide complet pour bien choisir son photographe de mariage.
Parlons-en ! Je prends le temps d’échanger avec vous pour vous proposer rapidement une offre sur mesure.