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Charlotte et Yoav se sont rencontrés à New York et aiment les images artistiques et sensibles qui traversent le temps. Pour leur mariage à la Ferme de Gy, ils ont choisi un reportage argentique, complété par un second regard en numérique. L’idée était claire : raconter poétiquement la journée, avec ce grain et ces couleurs que le film rend si bien.
Un reportage intégral sur pellicules se prépare. On anticipe la lumière, l’enchaînement des moments et la partie danse où tout s’accélère. Au programme : préparatifs, cérémonie sous la houppa en extérieur, Hora, dîner assis et soirée dansante. Le domaine près d’Annecy offre des espaces variés, une cour accueillante pour le cocktail et des salles dédiées. Si vous voulez comprendre mon approche globale, je détaille ma façon de travailler en tant que photographe de mariage et ce que j’entends par reportage discret et lisible.
La Ferme de Gy réunit beaucoup de qualités pour un reportage de mariage, qui plus est, en argentique :
Dès l’arrivée, je repère trois ou quatre zones propices à créer de belles images. Un mur clair pour adoucir la lumière, un coin d’ombre ouverte, un plan large avec les montagnes, un abri si la météo tourne. Ce repérage fait gagner du temps et stabilise le rendu. Pour une vue d’ensemble de mon travail sur différents lieux, vous pouvez jeter un œil à mon portfolio.
Les préparatifs se sont déroulés dans une ambiance détendue, avec des rires et des gestes tendres. Les pièces étaient parfois en contre-jour et en demi-teinte. J’ai choisi le noir et blanc pour ce moment car il met l’accent sur les expressions et clarifie la scène.
Concrètement, je rapproche toujours les sujets d’une source de lumière douce, je simplifie l’arrière-plan et je déclenche sur des gestes naturels. Le noir et blanc garde du détail et donne des images nettes pour ouvrir le récit. Si vous hésitez encore sur la manière de choisir votre photographe, ce guide très complet résume les points qui comptent vraiment.
Charlotte et Yoav ont installé la houppa dans le jardin qui s’ouvre sur les montagnes de Savoie. Chaque famille était de part et d’autre d’une allée fleurie. La cérémonie a alterné bénédictions, échanges de vœux et coupe du verre.
Côté prise de vue, je structure ainsi :
La cour du lieu de réception à Giez se prête bien au cocktail. On circule facilement, la lumière latérale dessine de jolis volumes et les invités se retrouvent spontanément par petits groupes.
Je privilégie des portraits naturels, pris au moment où une personne se tourne vers moi, et quelques détails utiles pour l’album comme les soliflores, la verrerie et le plan de table. Deux ou trois images par groupe suffisent. L’objectif est d’aérer le récit sans le surcharger. Si vous cherchez des idées de lieux en Savoie et autour d’Annecy, cette sélection de domaines coup de cœur peut aider à affiner vos repérages.
La Hora est un moment fort du mariage et demande une vraie anticipation. C’est rapide, parfois sombre et très mouvementé. Je prépare un éclairage discret pour figer ce qu’il faut sans perdre l’énergie.
Avant le lancement, je repère les axes. Où seront les chaises, où se placent les musiciens, quelle est la meilleure ligne de vue. Une fois la danse lancée, je reste mobile et déclenche sur les pics d’énergie. On conserve le dynamisme, sans sacrifier le style.
Le dîner était servi à table avec une décoration sobre et cohérente. Je photographie la salle quelques minutes avant l’entrée des invités, puis je me concentre sur les discours et les réactions.
Je cherche des visages nets, des contrastes doux et une lecture simple. Ces images servent souvent de fil conducteur pour l’album, avec quelques détails de table entre deux interventions.
Le soir, la lumière baisse et le rythme s’accélère. J’utilise un éclairage discret quand c’est nécessaire, sans en faire trop.
Je privilégie des cadrages serrés sur les visages et les mains, avec quelques vues d’ensemble pour situer la piste. L’idée est de raconter la fête avec des images claires et rythmées. Pour d’autres exemples de journées contrastées, vous pouvez parcourir ce reportage au Domaine de Vavril, qui illustre bien la manière d’aborder des lumières très différentes.
Nous avons pris vingt minutes en fin de journée, quand la lumière devient douce. Pas de poses figées. On marche, on parle, on se place face à la lumière, on respire. Vingt minutes suffisent largement. Quelques vues en noir et blanc complètent la série. Des photos de couple naturelles, réalisées sur pellicule, avec la Savoie en arrière-plan. Si vous souhaitez préparer ce moment en amont, la page sur la séance engagement explique quand la programmer et ce que cela change le jour J.
Pour ce reportage de photographe de mariage argentique à la Ferme de Gy, j’ai travaillé avec trois appareils, chacun adapté à la lumière et au moment de la journée. Un pour les scènes rapides, un pour les portraits calmes, un troisième en sécurité pour la soirée. Côté pellicules, j’ai alterné couleur et noir et blanc selon les situations, avec de la marge pour couvrir sans stress du début des préparatifs à la fête.
Les délais habituels pour un reportage en argentique vont de quatre à huit semaines selon la saison et le volume. Pour découvrir comment cette approche se traduit en images, vous pouvez visiter mon portfolio.
La Ferme de Gy offre une lumière naturelle généreuse, des couleurs réalistes et des arrière-plans propres. Le film restitue tout cela sans excès. Pour une cérémonie sous la houppa et une Hora énergique, l’argentique tient la route et vieillit bien. On photographie moins, mais mieux, au service de l’histoire du couple. Si vous souhaitez en discuter ou vérifier une date, le plus simple est de passer par la page contact.
L’argentique offre un rendu naturel du film, avec un grain fin et des couleurs qui vieillissent bien. On obtient un reportage sur pellicule simple et intemporel, loin des traitements trop marqués, avec des photos élégantes et durables.
Oui, si c’est préparé. J’organise le reportage par grandes séquences et je travaille avec trois appareils, chacun adapté à la lumière et au moment. Cette méthode sécurise les temps forts du jour J, des préparatifs à la soirée, tout en gardant un style discret et régulier.
Un peu. Le développement et le scan des pellicules s’ajoutent au tri des images. Comptez généralement de quatre à huit semaines selon la saison, le volume et le labo, puis livraison en galerie en ligne haute définition pour partager facilement vos photos de mariage.
Oui. Après développement, je livre une galerie en ligne en haute définition, prête à télécharger et à partager. Vous pouvez compléter avec des tirages et un album, parfaits pour valoriser le rendu du film et conserver votre reportage de mariage argentique sur papier.
Un volume confortable qui couvre toute l’histoire sans doublons inutiles. L’objectif est un récit complet, cohérent et lisible, avec des moments clés, des portraits naturels et des détails du lieu de réception, que ce soit en Savoie ou ailleurs en France ou à l’étranger.
Le mariage de Charlotte et Yoav à la Ferme de Gy montre qu’un reportage en argentique fonctionne très bien quand il est préparé avec soin. Repérage des zones, plan simple pour la danse, attention constante à la lumière. On obtient des images nettes et naturelles, cohérentes du matin à la nuit.
Si vous cherchez un photographe de mariage argentique en Savoie, dans le Rhône ou à l’étranger, Juliette Simon Photographie propose un accompagnement clair. La page dédiée à la prestation mariage détaille la couverture, et si vous souhaitez en savoir plus sur mon parcours et ma façon de travailler, la rubrique qui suis-je est là pour ça. Pour me parler de votre date et de vos envies, passez simplement par le formulaire de contact.
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