« Le voyage m'est nécessaire pour arriver à créer, à appréhender de nouvelles lumières et palettes de couleurs. J'aime être surprise et émerveillée d'un décor et tenter d'en tirer l'essence en une composition : je vois ça comme un challenge qui me stimule et m'épanouit », ajoute-t-elle. Baisés salés, coucher de soleil sur les plages d'Ipanema, cheveux nacrés, papillons de jeunesse... Toutes ces bribes de beauté vulnérable, d'où émane la beauté amère d'un temps disparu.
Extrait de l'article Juliette Simon : la beauté et l'amertume d'Ana Corderot - Fisheye Magazine